La
Guadeloupe contrairement aux idées préconçues est assez riche sur le
plan culturel et historique.
Vous pourrez parfaire votre culture en
visitant nos musées.
MUSÉE SCHŒLCHER
Victor Schœlcher se fit d'abord connaître comme critique d'art.
Il
fréquentait les milieux artistiques de Paris au XIXème siècle. Eugène
Delacroix, Georges Sand, Victor Hugo, les compositeurs Frantz Litz,
Frédéric Chopin ou Hector Berlioz faisaient partie de son cercle d'amis.
En
1883 il décide d'offrir à la Guadeloupe une partie de ses collections,
amassées lors de ses nombreux voyages, dans le but de permettre, aux
pauvres comme aux riches, de pouvoir accéder à la culture et aux
beaux-arts.
Le
21 juillet 1887, le musée Victor Schœlcher est inauguré à
Pointe-à-Pitre. Dédié à celui qui a délié les chaînes des
esclaves. Ce musée rend hommage à Victor Schœlcher et à son combat pour l’abolition de l’esclavage et la suppression des inégalités. Destiné par son fondateur à devenir un
musée d’Art, il présente des expositions temporaires et expose
des collections représentatives des courants artistiques
contemporains en Guadeloupe.
Le
bâtiment, spécialement construit pour abriter la collection
offerte par Schœlcher à la Guadeloupe en 1883, a été érigé par
le conseil général sur un terrain donné par la ville de
Pointe-à-Pitre.
Il
semblerait que dans la collection initiale composée d’objets
personnels de Schœlcher et de legs de l’État, de nombreuses
porcelaines ainsi que des moulages d’œuvres célèbres du Louvre
aient été détruits lors du cyclone de 1928.
Un
retour de plus d’un siècle en arrière, pour saluer la mémoire de
celui qui changea la vie de l’île, en s’engageant entièrement dans
un combat politique qui était bien loin d’être gagné. Ses nobles
et grandes idées lui valurent d’être qualifié d’utopiste, ce qui
n’échangea en rien son dessein.
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MUSÉE ÉDGAR CLERC
Ouvert tous les jours de 9h à 17h sauf le mardi.
Situé au Moule sur la route de Sainte-Marguerite et construit à l’emplacement d’un ancien camp militaire par l’architecte guadeloupéen Jacques Berthelot.
Son initiateur, Édgar Clerc, est décédé deux ans avant son achèvement. Ce musée qui a un peu plus de dix maintenant, retrace l'histoire des premiers occupants de la Guadeloupe. Le musée offre une exposition permanente d'objets précolombiens. Il organise en outre, des expositions temporaires.
Riche de ses collections de céramiques, d'outils en coquillage et en pierre, elles sont devenues une référence pour les chercheurs de tous horizons.Elles
illustrent la vie quotidienne des Précolombiens du premier millénaire
avant Jésus-Christ jusqu'à la découverte de l'île de Karukéra en 1493,
baptisée “Guadelupé” par Christophe COLOMB. Comptez environ une heure pour la visite.
.
MUSÉE DU COQUILLAGE
Ouvert tous les jours de 9h30 à 18h - Visite = 1h.
Évadez vous pour une destination “coquillages ” et découvrez de fabuleuses espèces en provenance du monde entier.
La
visite guidée est faite par le maître des lieux, un véritable
passionné. La collection présente plus de 3000 coquillages, une
vitrine étant réservée à ceux de la Guadeloupe.
Il y a une boutique
sur place pour dénicher des produits artisanaux fabriqués à base de
coquillages, des livres spécialisés dans le domaine, etc…
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MUSÉE DU CAFÉ - Habitation la Grivelière,
Situé dans la vallée de Grand’ Rivière à Vieux-Habitants, la caféière produit l'un des meilleurs cafés au monde.
La petite quantité ne permet pas une commercialisation à grande échelle et de ce fait n'est pas trop connu.
Le
musée du café permet de découvrir le domaine où sont plantés des
caféiers, ensuite la bonifierie qui est le lieu de transformation du
café avec les étapes de séchage et torréfaction.
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PLANTATION VANIBEL - COUSINIÈRE CAFÉIÈRE
Tous
les jours sauf le dimanche ; visite guidée (14h, 15h, 16h). Basse
saison (mai, juin, octobre, novembre) : visite unique à 15h.
Fermeture annuelle en septembre et octobre. Groupes acceptés sur rendez-vous.
La
famille Nelson, propriétaire des gîtes de Vanibel, a planté 10
hectares de café sur son domaine et produit un café artisanal 100 %
Guadeloupe, variété Arabica.
Possibilité de visiter l’exploitation et la première bonifierie restaurée de l’île datant de 1870. Elle
est aménagée pour les personnes à mobilité réduite. La visite
comprend aussi la culture de vanille, de banane, à l’issue de
la visite une dégustation du café Vanibel sera offerte.
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MUSÉE DE LA VIE D'ANTAN
Situé
rue de l'église à Petit, le Musée de la vie d'Antan est le premier
musée d'art et traditions populaires de la Guadeloupe. Il a été
inauguré en 2001
Cette initiative est celle de l'A.P.S. (Association, Patrimoine, Savoir). Après
avoir récolté des objets usuels de la vie jusqu'aux années 1950, elle
présente la vie quotidienne accompagnée de réflexion sur l'évolution des
comportements.
Ouverture
du lundi au samedi de 09h00 à 12h00 et de 14h30 à 17h00 - Le dimanche
sur réservation pour les groupes de 10 adultes minimum..
MUSÉE FORT FLEUR D'ÉPÉE
Inscrit
à l'Inventaire des Sites et des Monuments de la Guadeloupe, le Fort
Fleur d’Épée de forme polygonale est érigée au 18è siècle. Il
appartient alors à un ensemble de défenses aujourd'hui toutes disparues,
destinée à protéger le Grand Cul de Sac Marin.
Il
porte selon la mémoire collective le nom d'un soldat particulièrement
valeureux : Fleur d’Épée. Comme toutes les architectures militaires de
l'île, il s'inscrit dans le style Vauban. Deux piliers massifs décorés
de pyramides encadrent la porte d'accès.
Sur l'esplanade aujourd'hui plantée de flamboyants, ce qui fait de ce
site un lieu de promenade fort agréable, seule la poudrière est encore
visible.
L'ancienne citerne ainsi que certains corps de bâtiments ont été reconstruits. L'un deux sert à l'organisation de manifestation culturelles. Deux à trois expositions de peinture y sont organisées chaque année. Un escalier conduit au souterrain où des graffitis ont été laissés par les différents occupants successifs, militaires de passage ou prisonniers de guerres. . LE MUSÉE DE L'HERMINIER La Chambre d'Agriculture présidée par Auguste DUCHASSAING décida en 1871 la construction d'un bâtiment destiné à abriter ses réunions, à illustrer la mémoire du docteur L'HERMINIER, à abriter une bibliothèque et les collections zoologiques et botaniques de Ferdinand L'HERMINIER, fils du Docteur. A Pointe-A-PITRE à l'angle de la rue Sadi Carnot et de la rue Jean Jaurès se dresse dans un jardin un joli pavillon en parement de brique. L'élégance de cet édifice, témoignage de la révolution architecturale née de l'utilisation de fer dans la construction, est patente : finesse des colonnes de fonte, reliefs en brique, dentelle de la grille des balcons, équilibre général de la construction. On accède au rez-de-chaussée légèrement surélevé par des marches en pierres de lave du pays Le bâtiment initial, inauguré en 1874 n'avait qu'un étage ; endommagé par le cyclone de 1928, il fut restauré et on le suréleva d'un étage en 1930. L'utilisation de la brique était rare en Guadeloupe, faute du matériau qui devait être importé ; les éléments en fonte témoignent de l'influence des techniques alors de pointe de la construction métallique. Dans les années 1960, c’était le seul musée de l'île d'Histoire Naturelle consacré à la faune et à la flore locale. Aujourd'hui, propriété de la Chambre d'agriculture de la Guadeloupe, il ne demande qu'à être ouvert de nouveau au public. . MUSÉE DU FORT NAPOLÉON Situé à Terre de Haut aux Saintes, il abrite un petit musée assez diversifié, une galerie de peinture moderne, une superbe collection de cactées sans oublier la multitude d'iguanes dans les jardins. . MUSÉE SAINT JOHN PERSE Situé 9 rue de Nozières à Pointe-à-pitre, La “villa Souques-Pagès”, du nom de ses anciens occupants, fait penser, par son architecture métallique, aux maisons de la Nouvelle Orléans.
Elle aurait été destinée à l'origine à un riche habitant de la Louisiane.
Classé monument historique, cette maison, qui date de la fin 19e S., fut transformée en musée à la gloire d'Alexis Léger plus connu sous le nom de Saint-John-Perse.
Inauguré le 31/05/1987, le musée Saint-John-Perse présente au rez-de-chaussée l'intérieur d'une habitation créole de type bourgeoise avec son plafond en zinc, ses mannequins habillés de costumes créoles, sa collection de cartes postales anciennes ou encore son mobilier en mahogany (sofa, berceuse etc…).
Le rez-de-chaussée accueille également des expositions temporaires.
Au 1er étage, on trouve des documents, des photos, des manuscrits, des livres, etc.. sur la vie et l'œuvre du poète.
Né à Pointe-à-pitre le 31 mai 1887, Saint-John-Perse quitte la Guadeloupe en 1899 et n'y reviendra plus.
Diplomate, il est surtout connu pour ses recueils de poésie Eloges (1911), Anabase (1924), Exil (1944), Amers (1957), Chronique (1960), Oiseaux (1962), Chanté pour celle qui fut là (1969), Nocturne (1973), Sécheresse (1974) etc.
Il reçoit le prix Nobel de Littérature en 1960.
Décédé en 1975, il a légué toute sa collection (près de dix mille documents : manuscrits, photographies, œuvres d'art, correspondances, etc…) à la ville d'Aix-en-Provence.
Cette collection est conservée et mise en valeur par la fondation Saint-John-Perse située à Aix-en-Provence. . MUSÉE COSTUMES ET TRADITIONS Visite : 1h30 Construit de 2005 à 2008, la Bitasyon (l'habitation) Costumes et Traditions est une initiative privée de Camélia Bausivoir-Garcia et Claude Bausivoir. La construction de l'édifice et l'aménagement du musée ont été intégralement financés par ses concepteurs. Il a ouvert ses portes le 25 octobre 2008. Camélia et Claude ont rassemblé dans ” La Bytasyon” plusieurs années de recherches entamées dès 1980 : Des apprentissages et formations, des entretiens, des créations ainsi que de nombreux voyages dans la Caraïbe, en France, en Angleterre, au Sénégal, en Guyane et en Espagne. Plusieurs salles sont à votre disposition dans le musée, une galerie Royale avec une présentation des modes d'habillement de rois ou de reines de l'antiquité et d'autres époques historiques.
Des salles avec des représentations de scènes (Époque amérindienne, Christophe Colomb, la société de plantation, la vie religieuse, une salle d'école de la première moitié du 20è siècle, jeux et jouets d'autrefois…)
Vous pourrez découvrir ainsi Ti kaz an mwen (Ma petite maison) qui vous présente l'environnement intérieur et extérieur de la case d'Olympe et son bébé Sosyète, ses activités, ses croyances… Un espace audiovisuel est à votre disposition avec un diaporama permanent sur des thèmes de l'habillement. Par ailleurs, dans le jardin médicinal, les plantes de l'archipel sont présentées.
. MUSÉE DE L'HISTOIRE - FORT DELGRÈS Successivement appelé Fort Royal, Fort Richepance puis Fort Saint-Charles, pour enfin porter le nom définitif de Fort Delgrés en mémoire à cet officier qui sacrifia sa vie en même temps que 400 de ses soldats au nom de la liberté. Il fut un fervent défenseur de l'abolition de l'esclavage. Sa devise a été : “VIVRE LIBRE OU MOURIR” Classée Monument Historique depuis 1977, Cette propriété du département, se trouve à l'entrée de Basse-Terre. C'est une fortification, construite vers 1650 par Charles Hoüel, sur des plans de Vauban. Charles Houël, alors gouverneur et Sénéchal de la Guadeloupe. Ce fort devient en 1950, le futur musée d'Histoire de la Guadeloupe, des expositions y sont régulièrement organisées. A signaler, dans la zone appelée Bastion du Galion, le cimetière militaire où reposent le Général Richepance et l'Amiral Gourbeyre.
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L'ancienne citerne ainsi que certains corps de bâtiments ont été reconstruits. L'un deux sert à l'organisation de manifestation culturelles. Deux à trois expositions de peinture y sont organisées chaque année. Un escalier conduit au souterrain où des graffitis ont été laissés par les différents occupants successifs, militaires de passage ou prisonniers de guerres. . LE MUSÉE DE L'HERMINIER La Chambre d'Agriculture présidée par Auguste DUCHASSAING décida en 1871 la construction d'un bâtiment destiné à abriter ses réunions, à illustrer la mémoire du docteur L'HERMINIER, à abriter une bibliothèque et les collections zoologiques et botaniques de Ferdinand L'HERMINIER, fils du Docteur. A Pointe-A-PITRE à l'angle de la rue Sadi Carnot et de la rue Jean Jaurès se dresse dans un jardin un joli pavillon en parement de brique. L'élégance de cet édifice, témoignage de la révolution architecturale née de l'utilisation de fer dans la construction, est patente : finesse des colonnes de fonte, reliefs en brique, dentelle de la grille des balcons, équilibre général de la construction. On accède au rez-de-chaussée légèrement surélevé par des marches en pierres de lave du pays Le bâtiment initial, inauguré en 1874 n'avait qu'un étage ; endommagé par le cyclone de 1928, il fut restauré et on le suréleva d'un étage en 1930. L'utilisation de la brique était rare en Guadeloupe, faute du matériau qui devait être importé ; les éléments en fonte témoignent de l'influence des techniques alors de pointe de la construction métallique. Dans les années 1960, c’était le seul musée de l'île d'Histoire Naturelle consacré à la faune et à la flore locale. Aujourd'hui, propriété de la Chambre d'agriculture de la Guadeloupe, il ne demande qu'à être ouvert de nouveau au public. . MUSÉE DU FORT NAPOLÉON Situé à Terre de Haut aux Saintes, il abrite un petit musée assez diversifié, une galerie de peinture moderne, une superbe collection de cactées sans oublier la multitude d'iguanes dans les jardins. . MUSÉE SAINT JOHN PERSE Situé 9 rue de Nozières à Pointe-à-pitre, La “villa Souques-Pagès”, du nom de ses anciens occupants, fait penser, par son architecture métallique, aux maisons de la Nouvelle Orléans.
Elle aurait été destinée à l'origine à un riche habitant de la Louisiane.
Classé monument historique, cette maison, qui date de la fin 19e S., fut transformée en musée à la gloire d'Alexis Léger plus connu sous le nom de Saint-John-Perse.
Inauguré le 31/05/1987, le musée Saint-John-Perse présente au rez-de-chaussée l'intérieur d'une habitation créole de type bourgeoise avec son plafond en zinc, ses mannequins habillés de costumes créoles, sa collection de cartes postales anciennes ou encore son mobilier en mahogany (sofa, berceuse etc…).
Le rez-de-chaussée accueille également des expositions temporaires.
Au 1er étage, on trouve des documents, des photos, des manuscrits, des livres, etc.. sur la vie et l'œuvre du poète.
Né à Pointe-à-pitre le 31 mai 1887, Saint-John-Perse quitte la Guadeloupe en 1899 et n'y reviendra plus.
Diplomate, il est surtout connu pour ses recueils de poésie Eloges (1911), Anabase (1924), Exil (1944), Amers (1957), Chronique (1960), Oiseaux (1962), Chanté pour celle qui fut là (1969), Nocturne (1973), Sécheresse (1974) etc.
Il reçoit le prix Nobel de Littérature en 1960.
Décédé en 1975, il a légué toute sa collection (près de dix mille documents : manuscrits, photographies, œuvres d'art, correspondances, etc…) à la ville d'Aix-en-Provence.
Cette collection est conservée et mise en valeur par la fondation Saint-John-Perse située à Aix-en-Provence. . MUSÉE COSTUMES ET TRADITIONS Visite : 1h30 Construit de 2005 à 2008, la Bitasyon (l'habitation) Costumes et Traditions est une initiative privée de Camélia Bausivoir-Garcia et Claude Bausivoir. La construction de l'édifice et l'aménagement du musée ont été intégralement financés par ses concepteurs. Il a ouvert ses portes le 25 octobre 2008. Camélia et Claude ont rassemblé dans ” La Bytasyon” plusieurs années de recherches entamées dès 1980 : Des apprentissages et formations, des entretiens, des créations ainsi que de nombreux voyages dans la Caraïbe, en France, en Angleterre, au Sénégal, en Guyane et en Espagne. Plusieurs salles sont à votre disposition dans le musée, une galerie Royale avec une présentation des modes d'habillement de rois ou de reines de l'antiquité et d'autres époques historiques.
Des salles avec des représentations de scènes (Époque amérindienne, Christophe Colomb, la société de plantation, la vie religieuse, une salle d'école de la première moitié du 20è siècle, jeux et jouets d'autrefois…)
Vous pourrez découvrir ainsi Ti kaz an mwen (Ma petite maison) qui vous présente l'environnement intérieur et extérieur de la case d'Olympe et son bébé Sosyète, ses activités, ses croyances… Un espace audiovisuel est à votre disposition avec un diaporama permanent sur des thèmes de l'habillement. Par ailleurs, dans le jardin médicinal, les plantes de l'archipel sont présentées.
. MUSÉE DE L'HISTOIRE - FORT DELGRÈS Successivement appelé Fort Royal, Fort Richepance puis Fort Saint-Charles, pour enfin porter le nom définitif de Fort Delgrés en mémoire à cet officier qui sacrifia sa vie en même temps que 400 de ses soldats au nom de la liberté. Il fut un fervent défenseur de l'abolition de l'esclavage. Sa devise a été : “VIVRE LIBRE OU MOURIR” Classée Monument Historique depuis 1977, Cette propriété du département, se trouve à l'entrée de Basse-Terre. C'est une fortification, construite vers 1650 par Charles Hoüel, sur des plans de Vauban. Charles Houël, alors gouverneur et Sénéchal de la Guadeloupe. Ce fort devient en 1950, le futur musée d'Histoire de la Guadeloupe, des expositions y sont régulièrement organisées. A signaler, dans la zone appelée Bastion du Galion, le cimetière militaire où reposent le Général Richepance et l'Amiral Gourbeyre.
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MAISON DU CAFÉ, Ouvert tous les jours de 9h à 17h. Fermeture en septembre.
La
Grivelière est un exemple unique dans toutes les Antilles où
on y produit un arabica, cultivé depuis près de 2 siècles.
Elle
appartient aujourd’hui à la région, qui s’attache à la remettre en
état pour en faire un véritable centre de visite touristique. où
on s’y familiarise avec les techniques de récolte, de séchage
et de torréfaction.
Le cadre est superbe, le domaine comptant également une grande surface arboricole où poussent orangers, citronniers, avocatiers, abricotiers, caramboliers, mais aussi des arbres utilisés pour leur bois comme l’acajou ou le mahogany.
Des visites guidées (durée 1h30) sont organisées avec dégustation de café, de nectar de fruits du domaine.
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LA PLANTATION GRAND CAFÉ, Ouvert du lundi au vendredi de 9h30 à 16h00 visites guidées. Fermé les samedis, dimanches et les jours fériés, et tout le mois de septembre.
Dans les années 1940, c’était une plantation de café, on y cultivait également le cacao et la vanille. Le coût de revient du café ayant chuté, la plantation s’est transformée en bananeraie tout en conservant son nom historique. L’habitation est vieille d’un siècle et le domaine s’étend sur une trentaine d’hectares. A l’entrée, les tracteurs déversent leur chargement de bananes qui vont être découpées, lavées et emballées. Quelques mètres plus loin, on découvre une petite maison de style colonial, perdue dans la bananeraie (c’est celle du propriétaire). A une centaine de mètres de la demeure, 31 variétés de bananiers dressent un catalogue éloquent, mais les espèces habituellement cultivées en Guadeloupe sont les poto, poyo, banane plantin. Vous pouvez partir pour une balade en chariot tiré par un tracteur à travers la plantation jusqu’à une piste d’aviation.
. LA BONIFIERIE Fermé le lundi. Visite guidée, Visite et déjeuner. Le site de La Bonifierie se trouve à 15 minutes en descendant de La Soufrière. Cette ancienne sucrerie, l’habitation Espérance (1760), a aujourd’hui été rénovée à l’identique et c’est maintenant le plus grand moulin à café des Antilles. Une magnifique roue, alimentée en eau, active les engrenages du moulin. De la cueillette à la dégustation, le guide vous dévoile avec passion, durant une visite commentée de plus de 45 minutes, tous les secrets du fameux café bonifieur, un 100 % arabica local, réputé être l’un des meilleurs crus au monde. La Bonifierie vous invite, après avoir visité son musée-collection d’objets anciens (torréfacteurs, moulins café, cafetières) à déguster son café maison dans la fraîcheur de son jardin ombragé par un acajou centenaire ainsi qu’à travers la boutique Café-Vanille où l’on trouve toutes sortes de souvenirs.
. LA RÉSERVE COUSTEAU
C'est un espace marin protégé situé sur la commune de Bouillante en
Guadeloupe. Sur environ 400 hectares autour des îlets Pigeon, face à la
plage de Malendure, la zone permet de protéger les fonds marins et
limiter la pêche.
C'est autour des îlets Pigeon que le commandant J.-Y. Cousteau tourne quelques scènes de son long métrage Le Monde du silence
en 1955. Fasciné par la grande diversité biologique du site il le fait
connaitre aux autorités guadeloupéennes qui mettent alors en place
quelques mesures de protection. La mise en place de ces mesures et la
richesse du site se fait rapidement connaitre.
Dans
le même temps la plongée sous-marine de loisir se développe et
plusieurs clubs s'installent autour du site. Aujourd'hui le site est
devenu une étape incontournable pour les plongeurs dans l'archipel
guadeloupéen.
La réserve Cousteau n'est pas une véritable réserve naturelle
au sens législatif du terme et ne bénéficie donc pas des mesures de
protections associées. La protection consistait jusqu'en 2009 en un
arrêté préfectoral interdisant la pêche et le mouillage d'ancres sur le
site, désormais la réserve fait partie du parc national de la Guadeloupe.
Il
existe depuis plusieurs années un projet de réserve marine nationale
qui n'a pas encore aboutit. Les fonds marins autour des îlets Pigeon
comprennent de nombreuses espèces de coraux, gorgones, cerveaux de
Neptune, éponges, poissons tropicaux ainsi que des langoustes et des
tortues marines. Durant les mois de janvier et février il est possible
d'y entendre le chant de baleines à bosses qui font leur parade nuptiale
plus au large.
Dans les années 1940, c’était une plantation de café, on y cultivait également le cacao et la vanille. Le coût de revient du café ayant chuté, la plantation s’est transformée en bananeraie tout en conservant son nom historique. L’habitation est vieille d’un siècle et le domaine s’étend sur une trentaine d’hectares. A l’entrée, les tracteurs déversent leur chargement de bananes qui vont être découpées, lavées et emballées. Quelques mètres plus loin, on découvre une petite maison de style colonial, perdue dans la bananeraie (c’est celle du propriétaire). A une centaine de mètres de la demeure, 31 variétés de bananiers dressent un catalogue éloquent, mais les espèces habituellement cultivées en Guadeloupe sont les poto, poyo, banane plantin. Vous pouvez partir pour une balade en chariot tiré par un tracteur à travers la plantation jusqu’à une piste d’aviation.
. LA BONIFIERIE Fermé le lundi. Visite guidée, Visite et déjeuner. Le site de La Bonifierie se trouve à 15 minutes en descendant de La Soufrière. Cette ancienne sucrerie, l’habitation Espérance (1760), a aujourd’hui été rénovée à l’identique et c’est maintenant le plus grand moulin à café des Antilles. Une magnifique roue, alimentée en eau, active les engrenages du moulin. De la cueillette à la dégustation, le guide vous dévoile avec passion, durant une visite commentée de plus de 45 minutes, tous les secrets du fameux café bonifieur, un 100 % arabica local, réputé être l’un des meilleurs crus au monde. La Bonifierie vous invite, après avoir visité son musée-collection d’objets anciens (torréfacteurs, moulins café, cafetières) à déguster son café maison dans la fraîcheur de son jardin ombragé par un acajou centenaire ainsi qu’à travers la boutique Café-Vanille où l’on trouve toutes sortes de souvenirs.
. LA RÉSERVE COUSTEAU
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