Les Iles de La Désirade & de Petite Terre

DÉPART DE SAINT FRANÇOIS
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VERS LA DÉSIRADE
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 L’histoire dit que les marins du 2e voyage de Christophe Colomb, assoiffés et atteints de scorbut, nommèrent Désirade première île en vue.
Des recherches historiques récentes montrent que cette histoire est fausse. Ce n'est pas la flotte de Christophe Colomb qui a trouvé et baptisé La Désirade mais une autre flotte espagnole car, lors de son deuxième voyage, Christophe Colomb est arrivé vers la Dominique, puis est remonté vers Marie-Galante, ensuite droit au nord vers l'actuelle République Dominicaine, en passant par l'ouest (la Côte-sous-le-Vent), l'île de son premier voyage.
Pendant longtemps elle a été une terre difficile à cultiver et même à vivre. 
Elle a abrité les lépreux et sa seule et maigre culture était le coton.
Pour ne rien arranger, les cyclones ont très souvent ravagé l'île. 
Aujourd'hui, c'est une petite île où il fait plutôt bon vivre... 
Les iguanes et les cabris sont légions mais seuls les cabris se cuisinent.
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LES INCONTOURNABLES
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L'église de Beauséjour.
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Les ruines de l'ancienne cotonnerie
Richesse du passé à Baie Mahault Longtemps confondu avec les ruines de la léproserie. La culture du coton a été l'une des meilleures ressources de l'île. Ruines le long de la route du bout du quartier Baie Mahault
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Le Phare
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La Montagne  
Vues sur toute la longueur de l'île, la Guadeloupe, la Pointe des Châteaux et la Petite-Terre; Accès avec un 4 x4 ou en scooter.
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Les Cabris en totale liberté
Ils ne sont pas maigres, et pourtant la nourriture n'est pas abondante.
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L'ancienne station météo
Au bout de l'île
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Les éoliennes sur le plateau de la montagne.
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LES RESTAURANTS
TABLE D'HÔTES DES GÎTES DE LA GRANDE : Rue du Souffleur Mme Pioche, la propriétaire à l'accueil charmant, tient en plus de ses gîtes une table d'hôte midi et soir, ouverte à la clientèle extérieure.
RESTAURANT LA PROVIDENCE : CHEZ NOUNOUNE Plage de la Petite-Rivière (Retenu par le Bottin Gourmand 2011/2012) Situé sur la plage de la Petite-Rivière. Nounoune est considérée comme le cordon-bleu de La Désirade, elle prépare une cuisine antillaise « comme à la maison »….
LAGRANLAG Hôtel Oasis, Les petits plats et l'accueil de Chantal font toujours l'unanimité. Elle propose une cuisine française et créole, spécialisée dans le poisson…
OUALIRI BREEZE Mama Compè, la propriétaire, prépare elle-même les plats créoles à partir des produits de la pêche. Le restaurant organise régulièrement des soirées à thèmes…
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LES PLAGES DE LA DÉSIRADE  
La plage à FIFI avec son sable blanc et une mer translucide
Plage du souffleur, la côte Sud n'est qu'une immense plage.
La plage de la Baie de Baie Mahaut

Puis, le vent en poupe, vous quitterez la Désirade en avançant avec la houle.

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Petite Terre
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Ou
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Le Paradis Perdu
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L'HISTOIRE
 
Les Arawaks et les Caraïbes occupent l'archipel entre 500 et 1500. L'économie s'articule alors autour de l'élevage, de la pêche, du commerce et de la culture du coton rendue possible grâce à la récupération de l'eau de pluie dans des citernes.
Redécouvertes par Christophe Colomb, les îles ne sont occupées qu'à partir du XVIIIe en raison d'une absence d'eau potable.
L'occupation humaine cesse définitivement en 1972.
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LES ILES DE PETITE TERRE  
forment un archipel inhabité de France situé dans l'océan Atlantique dans l'arc des Antilles.
Il est formé de deux îles, Terre de Haut et Terre de Bas, entourées par un récif corallien et rattachées à l'île de la Désirade, une dépendance de la Guadeloupe.
Il se trouve à une dizaine de kilomètres au sud de la pointe des Châteaux, l'extrémité orientale de Grande-Terre de la Guadeloupe.
Les îles de la Petite-Terre sont rattachées à la commune de La Désirade.
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FAUNE ET FLORE
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La faune des deux îles est essentiellement composée d'iguanes antillais avec 9 500 individus, d'oiseaux migrateurs et de tortues auparavant chassées pour leurs œufs, leur graisse et leur carapace.
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Les croyances prêtaient même aux pénis des tortues des vertus aphrodisiaques. La richesse de la faune est complétée par une grande variété d'espèces de poissons et de larves protégés de la houle par le lagon et le récif corallien.
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Parallèlement, la flore y est très abondante et à titre d'exemple, le gaïac, autrefois utilisé pour la fabrication de boules de billard et de poulies, ou encore l'agave ne fleurissant qu'une fois dans sa vie y sont des espèces protégées.
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Ainsi, pour des raisons écologiques, pour réguler l'affluence touristique et pour une meilleure conservation de cette faune et de cette flore.
les îles de la Petite-Terre sont classées réserve naturelle depuis septembre 1998..
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LE TOURISME.
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Les îles de Petite-Terre sont visitées par de nombreux touristes attirés par la préservation de leur aspect sauvage ainsi que leurs populations d'iguanes antillais et de Bernard l'Hermite.
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Le site étant protégé, les navettes (bateau à moteur ou catamaran au départ de Saint-François) sont cependant limitées à deux par jour. Le phare de Terre de Bas, localement appelé « phare du bout du monde », est reconverti en musée de la faune et de la flore. 
 

1 commentaire:

  1. REGUIN Christine 1982/1987 à Désirade18 août 2017 à 10:51

    Cette page parle très bien de l'essentiel de la Désirade, sauf qu'il faudrait mettre deux ou trois vidéos sur les traditions que les Désiradiens préservent avec simplicité et naturel : fête des marins, chanté Nwel etc ... Certaines de ces fêtes traditionnelles ne sont plus guère visibles sur le reste du département de la Guadeloupe où elles sont devenues plus du folklore. A la Désirade, on peut encore voir de l'authentique, les gens ne se forcent pas, ils ont ça en eux et c'est pour cela que j'ai hâte de pouvoir y retourner dès que possible pour faire une pause dans cette petite île où il fait bon vivre !

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